Au coeur de la forêt,
Dans les hauteurs de la montagne,
Au creux de la colline,
Dans la douceur de la campagne.
Ton image me suit et me hante,
Où que je sois, quoi que je fasse,
Mon coeur s'enflamme pour toi.
Telle une douce senteur d'été,
Ton parfum embaume mon âme,
Et dépose sa tendre odeur,
Pareille au fleurs qui éclosent.
Dans les entrailles de la terre,
Au plus profond des ténèbres,
Dans le tumulte de la mer,
Aux bordures de l'océan.
Mes peines se taisent doucement
Je ferme la portes des enfers.
Ma douleur s'efface alors, si illusoire,
Comparée à tout ces sentiments,
Qui bouillonnent au fond de moi.
Dans ce jardin fleurissant,
Où jadis, vivait un ange,
Je m'approche de tes lèvres,
Pour te dire une dernière une fois « je t'aime »
Dans les hauteurs de la montagne,
Au creux de la colline,
Dans la douceur de la campagne.
Ton image me suit et me hante,
Où que je sois, quoi que je fasse,
Mon coeur s'enflamme pour toi.
Telle une douce senteur d'été,
Ton parfum embaume mon âme,
Et dépose sa tendre odeur,
Pareille au fleurs qui éclosent.
Dans les entrailles de la terre,
Au plus profond des ténèbres,
Dans le tumulte de la mer,
Aux bordures de l'océan.
Mes peines se taisent doucement
Je ferme la portes des enfers.
Ma douleur s'efface alors, si illusoire,
Comparée à tout ces sentiments,
Qui bouillonnent au fond de moi.
Dans ce jardin fleurissant,
Où jadis, vivait un ange,
Je m'approche de tes lèvres,
Pour te dire une dernière une fois « je t'aime »